C'est comme un lundi: chronique du 14 juillet 2014

Un lundi un peu spéciale, fin de la coupe du Monde, l'Allemagne championne du monde, 14 juillet fête nationale....C'est aussi le premier billet depuis le 10 juin 2014. Le temps passe trop vite mais qu'importe, il s'agit là d'une autre histoire.

 Après, la sévère déculotté du Brésil face à l'Allemagne (7-1) cette dernière remporte la finale de la coupe du monde contre l'Argentine (1-0) après les prolongations.

 Une belle finale, j'aurais bien aimé voir l'Argentine s'imposer mais la rigueur de la Mannschaft (surnom de l'équipe d’Allemagne qui signifie équipe) a eu raison de la belle équipe d'Argentine qui était bien loin de compté que sur Messi. Compter sur un homme providentielle (sans mauvais jeu de mot) ne peu pas permettre à une équipe de triompher. L’Argentine avait une belle équipe, il y avait même Lionel Messi qui avec ses qualités aurait pu faire la différence ce ne fût pas le cas.

L'albiceleste (surnom en référence au drapeau national qui est bleu ciel et blanc), était une belle équipe, qui donc ne comptait pas sur un seul homme comme la décevante équipe Brésil qui hélas n'avait plus d’âme en absence de Neymar. La Seleçao à déçu car cette équipe fait rêver, tout le monde. Une coupe du monde qui a donné du plaisir, il y a eu des buts, des arrêts magnifiques de gardiens extraordinaires.

Aujourd'hui lundi donc nous passons de la coupe du monde au 14 juillet, jour de fête national. Les bals populaires, les feux d'artifices mais aussi l'intervention du Président de la République. 

Il paraît que la croissance est de retour mais elle est fragile. Là, j'ai bien senti que François Hollande voulait dire que la croissance est réelle mais on ne ne la voie pas.

Mais ce n'est que mon avis.

Demain nous parlerons plus politique dans mardi c'est politiques.