Tour de France: la question du dopage

La centième édition du Tour de France s'est élancée samedi de Corse. Je me souviens toujours à cette époque de l'année le temps où  je faisais du vélo et suivait le TOUR. En définitive comme un grand nombre d'enfant et d'adolescent, rien d'exceptionnel.

 Si je souhaite écrire quelques lignes sur cette actualité ce n'est pas pour évoquer un souvenir endormi,une madeleine au goût bien amer.

 Il y a eu tout ces moments où l'on espéré rentrer assez tôt à la maison pou  voir la fin de l'étape, untel a t-il gardé son maillot, jaune, vert, à pois rouge du meilleur grimpeur.

 Et puis, un jour, tout cet engouement disparaît et l'âge n'y est pour rien. Non, l'intérêt n'est plus la car un jour on comprend que le sport n'est qu'un prétexte pour amuser les foules et les matraquer de messages publicitaires.

 Sur le tour plane le dopage

 Une partie des sportifs sont dopés avec leur consentement ou pas . On se souvient de ce grimpeur dopé à « l’insu de son plein gré ».

 Le dopage, la publicité, l'argent s'est le revers de la médaille, expression bien choisie, du sport professionnel.

 Hélas, le dopage n'est pas l'exclusivité du cyclisme. Les sports qui se professionnalises sont touchés, au nom du culte de la performance et de l’argent.

 Le sport et le capitalisme pour occuper le peuple pour éviter qui se révolte un bon sujet de thèse ?